La situation de crise sanitaire nous impose, à tous, de prendre des précautions, aussi bien pour préserver notre santé que celle des autres, et ralentir la propagation du Coronavirus. Le confinement reste, pour l’instant, le principal moyen d’y contribuer. Le président Macron a parlé, le 16 mars, de guerre, à plusieurs reprises. Vu l’ampleur de la pandémie et le peu d’armes pour lutter, il n’est pas étonnant qu’il ait appelé à la « mobilisation générale ».
Dans une guerre, il y a pire comme effort à fournir que le confinement. C’est ce qui est, avant tout, demandé à la majorité de la population.
Les personnels médicaux sont aujourd’hui ceux qui sont au Front. Nous ne pouvons que les admirer et les remercier. La commune de Mons-Boubert, dans la Somme, a pris l’initiative de faire sonner les cloches, tous les jours, à 20h, pour rappeler que, pendant que nous trouvons le temps long dans nos petits espaces de vie, certains continuent à se battre.
Et, comme dans toute guerre, beaucoup d’autres professions sont également sollicitées pour aider ceux qui se battent à assurer leurs difficiles missions, mais aussi pour permettre à toute la population qui est (ou plutôt qui se croit) à l’arrière du front, de vivre ou de survivre.
Merci aussi à tous ces combattantes et combattants de l’ombre.
Prenez-bien soin de vous et soyez prudent-es!
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